Cela faisait quelque jours que je ne l'avait pas revue, a vrai depuis notre unions. Je devais avouer que c'était dur d'être loin de lui. Je devais rajouter à cela que je ne me sentait pas très bien. J'avais la nausée, le matin et j'avais beau essayer de manger mais je n'y arrivais pas. Rien, même pas un morceaux de pain et c'était encore pire quand j’arrivai à avaler quelque chose parce que je filais droit au toilette pour tout remettre.

Tout les soirs, je venais ici. J'aurais pu aller chez moi, mais son odeur me manquais. Alors, je venais dormir dans sa chambre, bien que je savais qu'il n'y serait pas. Il était partit en mission. Je me sentais bien mieux ici, je pouvais laisser aller mon chagrin. J'avais beau essayer d'être forte, mais rien a faire. Il me manquait énormément.

Je savais déjà que notre amour serait difficile à vivre, que nous n’auront que quelques heures pour nous. Mais comment faire quand cela dure des jours, sans avoir pu voir celui que vous aimer. Je vous assure que c'est difficile. D'autant plus, quand on sais que cet amour était cassis impossible.

Je suis un ange amoureuse d'un démon et peut-être même que je porte son enfant. Les nausées que je ressens sont les premiers signe qu'une femme enceinte peux avoir. Un petit sourire naît sur mon visage en pensant à cela. Je dois dire que ce fut mon souhait quand nous avons fait l'amour. Je voulais un enfant de lui et si j'étais enceinte ? Se serais vraiment géniale.

Je me dirige vers la salle de bain, j'ai bien besoin d'une bonne douche. J’enlève mes vêtements que je prends soin de replier et de ranger sur le meuble juste à coté de celle-ci. Je passe ma main dans la cabine pour ouvrir le robinet, je laisse couler l'eau pour la laisser se réchauffer doucement. Une fois l'eau à la bonne température, je me glisse sous l'eau. L'eau me fait un bien fou, je me lave et je ressort au bout d'une demi-heure. Je prends ma serviette et la place autour de ma taille. Je me regarde dans le miroir, mes yeux ont un reflet étrange. Doucement mon regard se pose sur mon ventre et avec ma main je viens le caresser, inconsciemment un sourire nait sur mes lèvres.

Au bout de quinze minute à m'admirer ainsi dans la glace, je me dirige vers la chambre.

Je marche d'un pas las, rafraichi par la douche, quelques gouttelettes imprègne encore ma peau. Je marche vers le lit et c'est là que je le vois.

Mon coeur se met à s'affoler, je suis tellement heureuse de le voir et surprise en même temps, que je n'arrive plus a bouger....

Pas croyable il est là devant moi, j'ai le coeur qui tambourine dans ma poitrine, je n'en reviens pas. Mais dans quel état, je ne peux me résoudre à le laisser ainsi.

Je cours vers lui le coeur lourd. Il a les ailes blessées dans salle état , des blessures aux visages; le pauvre mais que lui est-il arrivés et qui a bien pu le mettre dans cet état.

Je m’accroupis à ses pieds oubliant ma serviette qui glisse sur le sol, mais a vrais dire, je me contre fiche de me retrouver nue face à lui. Il m'a déjà vu après tout. L'important est de pansés ses blessures.

Mon amour, qu'est ce qui t'es arrivée ?

Je prends son visage entre mes deux mains et plonge mon regard dans le sien et avant même qu'il puisse me répondre, j’enlève sa blouse et écarquille les yeux de surprise à la vu de ses nombreuses blessures. Je ne sais même pas les conter tellement il y en as.

Ne bouge pas, je reviens mais, allonge toi d'abords

Je l'aide à s'allonger sur le lit. Je le fait délicatement, j'ai peur de le faire mal. Je m'éloigne de lui, va dans la salle de bain, prends une serviette, un bassin d'eau et revient vers lui. Je dépose le bassin et plonge la serviette dans l'eau

Si je te vais mal, je m'en excuse, mais je dois les nettoyés , tu me fais confiance...

Je commence alors nettoyer ses blessures, je m'en veux de ne pas être capable de le soigner, je ne peux que lui donner les premiers soins. Je suis un ange et je ne suis même pas capable de soigner celui que j'aime c'est injuste.

J'avais vraiment mal pour lui, j'essayais de ne pas trop lui faire mal en nettoyant ses blessures, mais je voyais bien qu'a chacun de mes passage, il grimaçait de douleur. Je me sentais tellement impuissante de faire plus que ça et cela me fendait le coeur. Il me remercia

Tu n'a pas à me remercier, c'est tout a fait naturelle que je prends soin de toi.

Je voyais qu'il avait du mal à bouger, chaque geste le faisait grimacer. Avec un effort surhumain, il vient même me caresser le visage, je lui sourit. J'avais envie de l'embrasser, mais tout d'abord je devais m'occuper de ses blessures.

Je me suis ennuie, mais je vais bien. Par contre, il va falloir que je regarde tes ailes, je vais t'aider à te relever.  

Je m'installa à coté de lui, passa mes main autour de sa taille

A trois , je veux que tu penche sur moi

Je n'attendis pas sa réponse et je commença à compter

Un, deux et trois.

Je l'aida à se mettre assis, je me doutais bien que cela lui fessait mal, mais je devais a tout pris regarder ses ailes.

Je l'installa confortablement à l'aide d'un oreiller que je glissa  dans son dos pour l’empêcher de trop boucher.

Bon, voyons ses ailes

lui dis-je en prenant une de ses ailes dans mes mains

Je vais devoir te faire mal, mais je dois vérifier, si elles ne sont pas cassées.

A mes paroles, j'ouvris une des ses ailes,  je fis de même de l'autre coté elles n'avaient aucune résistances, c'étaient plutôt bon signe. Elles étaient cassées et malheureusement, ils leurs vaudraient du temps pour qu'il puissent les réutilisées.

Je reviens m'assoir à coté de lui

Rassure toi,  tu pourras les réutilisées, mais pour le moment, il faut que je les fixe dans ton dos pour que tu ne les bougent pas

Je retourna dans la salle de bain avec la petite boite de pharmacie qui se trouvais là. Je sortis des bandages et fixa les ailes dans son dos a l'aide de celle-ci. Je retourna ranger la pharmacie et reviens m'assoir prés de lui pour l'embrasser. J’espérais que ce baiser puisse lui enlever un peu de sa douleur.

Je n'aurai jamais imaginé que j'aurais à jouer les infirmières quand je le reverrai, mais cela ne me dérange pas du tout, j'aime prendre soin de lui. Je l'aime et puis m'occuper de lui ainsi me fais un peu oublier ma faim. Oui, j'ai faim, mais depuis quasi une semaine, je n'arrive à ne rien avaler du tout et quand heureusement j'arrive à avaler quelque, je ne le garde pas et je cours le rendre aux toilettes.

Je suis enceinte, j'en suis sûr et certaine, même s'il n'avait pas eu ces symptômes, une femme a souvent un sixième sens pour deviner ces choses-là et quand je me suis vue dans le miroir les étincelles dans mes yeux, me l'ai fait comprendre aussi. Il faudra que je fasse tout pour que cela reste secret d'abord pour notre amour et maintenant pour ce petit bout qui grandit en moi.

Je le regarde pendant que je le soigne, je me demande qui ai bien pu le mettre dans cet état, le pauvre, j'ai vraiment mal pour lui et j'ose même pas l'embrasser de peur de lui retirer une grimace.

De rien mon amour. Je serai toujours là si tu as besoin de moi.

Une fois que j'eus fini de le soigner, je l'avais rejoint en m’assieds à côté de lui. Il me tira alors vers lui, me faisant un petit signe pour que je m'approche de lui, nos lèvres s'unirent dans un léger baiser. Je me doutais bien que même cela devait le tordre de douleur. Je m'écarte doucement de lui de l'inquiétude dans mes yeux.

Je t’aime… Comment tu vas ? Je t’ai manqué ?

Je lui souris à sa question.

Je t'aime aussi, je vais bien et oui tu m'as manquée, énormément même et toi ? Si tu me racontais ce qui t'est arrivé ?

Je ne lui avais pas parlé de mes nausées, ce n'était pas parce que je voulais lui cacher, non c'était simplement que je ne voulais pas le tracasser, il était mal au point, je n'allais pas en rajouter une couche.

Je m'installai un peu plus confortablement près de lui, essayant au maximum de ne pas le faire trop mal. Dans l'état ou il se trouvait, j'étais certaine que le moindre geste de sa part, cela le tordait de douleur. Une petite idée me traversa la tête, je ne savais pas si cela avait le pouvoir d’apaiser ses douleurs, je savais que mes ailes avaient le pouvoir d’apaiser les coeurs. Et puis, je n'essaye pas, je ne le saurais jamais.

Je me tournai sur le côté, déposant ma tête contre son épaule et ouvris une de mes ailes pour l'entourer de celle-ci et je fermai les yeux pour laisser agir son pouvoir.

J'étais allongé contre lui ma tête contre son épaule, une de mes ailes venant lui caresser délicatement. Fermant les yeux pour faire agir mon pouvoir. Je sais que je ne pourrais pas guérir ses blessures et qu'il lui faudra du temps. J'ouvre doucement mes yeux pour venir rencontré son regard, je l'écoute et ce qui me raconte ma fait mal à coeur. Ses tristes et malheureux de devoir vivre ainsi. Je trouve cette vie injuste.

Je suis désolé mon Amour, je ferais tout mon possible pour te protéger ...parce que je ne supporterais pas s'il t'arrivais quelque chose...

Je me mit à caresser sa joue délicatement du bout des doigt, ma tête toujours sur son épaule. Je le ferais de loin, j'étais un ange protecteur et protéger était mon rôle. C'était du cou naturel que j'en face autant pour celui que j'aimais. Bien-sur, je le ferais discrètement et puis avec l'enfant qui grandissait en moi, j'avais encore plus besoin de lui. Je ne voulais pas que le bébé se retrouve sans père.

Je suis rassuée mes ailes ont l'air de lui faire du bain, je l'entends même dire qu'il est fatigué et je le sens s'endormir contre moi, je ferme et je m'endors à mon tour.

Je me réveille on a toquer à la porte , je me léve sans le réveiller. Je dépose doucement sa tête sur l'oreille en veillant à ne pas le faire du mal, je le regarde dormir, il est vraiment très beau. Je glisse la couverture sur lui et me dirige vers la porte pour l'ouvrir. Ses un homme qui se trouve là avec des plateaux repas. Je les prends, je lui remercie et les déposent sur la table.

J'ai faim, j'essaye de manger, mais comme je m'y attendais cela me donne la nausée et je cours au toilette remettre le peux que j'ai réussis a avaler. Je l’entend m’appeler, il faut que j'aille le rassurée. Je m'approche de l'évier rince ma bouche et reviens vers lui.

Je suis la mon amour...

Lui répondit-je. Je le regarde alors, je vois qu'il va un peu mieux, je vais chercher un des plateau et l'aide à s'installer correctement et lui tend

Tu devrais manger, cela te permettra de reprendre des force

A peine à t-elle dit cela qu'elle sens la nausée lui reprendre et cours faire les toilettes à nouveau. Décidément, elle espère que cela lui passeras, mais c'est le prix à payer pendant qu'un petit bout'chou grandis dans son ventre. Sans aucun doute, maintenant ses sur que je suis enceinte.

Azazel est l'être le plus précieux à mes yeux, jamais je n'aurais pu croire que l'amour existait, le véritable, celui qui ne vous arrive qu'une seule fois. Il peut séparer pendant des années et rallumer la flamme en une seconde. Je me souvient de lui maintenant, je le vois encore dans mes souvenirs...

Il était un ange noir à cet époque, je devais partir en mission, une de mes première, il était là entouré d'ange noir et blanc, je ne regardais pas les autres, j'étais attiré par lui. Mon regard avait croisée le sien et je ne fut plus jamais la même. A partir de ce moment, tous les jours, je me rendais au même endroit et il était là, magnifique, mon coeur s'affolait à chaque fois, jusqu’à ce qu'il disparaisse, me demandant ce qu'il avait bien pu devenir. Je n'avais jamais osé l'aborder et je n'ai pas oser, non plus demander ce qu'il était devenu...

Je m'inquiétais pour lui, me demandant comment j'allais faire pour l'aider à guérir. J'avais mal pour lui, je me sentais impuissance face à ses blessures, dans son état, il ne pouvais pas bouger, je devais donc trouvée une solution pour veiller sur lui.  

J'étais un ange protecteur et protéger les gens était mon rôle, je viens d'avoir une idée, je vais pour une fois dans ma vie ne pas dire toute la vérité, je vais juste prendre une semaine en espérant que cela soit assez, je dirais simplement qu'une personne avait besoin de ma protection rapprocher. Ce n'est pas la première fois que je le fait et se ne sera pas la dernière et puis peut-être que d'ici une semaine mes nausées auront disparurent.

Ainsi, il n'y aura aucun soupçon sur le début de ma grossesse et sur l'identité de celui qui fait battre mon coeur. Je l'aime trop pour le laisser dans cet état. Je garde cet amour bien encrée dans mon coeur, comme enfermer dans une boite à jamais. Cet un amour secret, mais il est véritable et ce secret vieille le coup que je prenne autant de risque pour l'aimer et veiller sur lui a partir d'aujourd'hui.

J'ai couru au toilette alors que je venais de lui demander de manger pour qu'il reprenne des forces alors que moi-même je devrais aussi me nourrir et je ne le fait pas, enfin je n'y arrive pas, mais je sais que cela passeras.

Il m'appelle, j'entends dans sa voix qu'il s’inquiète. Je que j'avais douter, il le met à exécution, il ne mangera pas si je ne réponds pas à sa question, je vois donc dans l'obligation d'y répondre. C'est vrai, il a le droit d'être mit au courant après tout, c'est sont enfant qui grandi en moi.

Le temps que je passe de l'eau sur mon visage et je l'entends hurler de douleur; je m'en veux du coup, j'aurais du le rassuré, lui dire que j'allais bien même si je n'arrive pas à manger, je suis malade peut-être, mais c'est une belle maladie porter l'enfant de l'homme que vous aimez.

Du coup, je courts vers lui

Je t'avais dis de ne pas bouger, tu as cassés ton aile un peu plus, mais elle pourra guérir...

lui dis-je en replaçant la bande autour de son aile et vérifiant à nouveau s'il n'y a aucune résistance, je suis rassurée, elle fonctionne toujours. Je passe ma main sur sa joue et vient m'assoir à coté de lui

Pardon mon Amour de ne pas t'avoir répondu, mais je m'inquiétais pour toi, mais rassure toi, je vais bien et puis c'est normal ce qui m'arrive dans mon état...

Je n'étais pas douée pour lui dire que j'étais enceinte mais j’espérais qu'il avait comprit, parce qu’inconsciemment pendant que je lui parlais, l'autre main était venue se poser sur mon ventre nu.

Azazel me fait pensée à un enfant dans son état. Me cherchant du regard, me pleurant presque après. Enfin, j’exagère quand je parle de pleurer, parce qu'il ne pleure pas. Je le trouve très courageux pour réussir à supporter toutes ses blessures.

Je n'aime pas le laisser, surtout pour le moment, je vais rester près de lui et veiller au moins pendant une semaine. J’espère que cela suffiras pour guérir aux moins les plus importante, les anges ne m'en voudront pas, il nous arrivent souvent de rester sur terre pour veiller sur une personne dont nous avons la charge. Je n'aurais qu'a dire que quelqu'un avait besoin de ma protection, je n'aime pas mentir, mais pour l'amour que je lui porte, je le ferais. Notre amour doit être cacher, je n'ai donc pas d'autre choix surtout maintenant que je sais le plus besoin de lui.

J'ai courus dés qu'il m'a appeler, le pauvre en bougeant vient de se cassées un peu plus une de ses ailes et moi je ne trouve pas mieux que de l'engueuler. Je l'ai fait pour son bien, je sais que ce n'est pas facile et dépendre de quelqu'un ne doit certainement pas lui plaire, lui qui a l'habitude de tout faire tout seul.

Je veux lui montrés que mon amour pour lui et si fort que je ferais n'importe quoi pour le protéger et veiller sur lui, même si je sais qu'il peux très bien le faire tout seul. Je ré-soigne son aile et j'essaye de lui faire comprendre que je suis enceinte, mais son esprit est trop brouiller par la douleur qu'il ne me comprends pas. Je n'ai pas d'autre choix que de lui dire; il vaux juste que je trouve les bons mots et puis, si je ne lui dit rien, il refusera de manger et se nourrir est primordial pour qu'il reprenne des forces.

Ce n'est pas grave mon Amour, je comprends...

Je prend sa main dans la mienne et vient déposée à nouveau ma tête sur son épaule, je souris doucement

Ce que je veux dire, c'est que c'est normal d'avoir la nausée quand on est enceinte mon Amour...

Finis-je par lui murmurer à l'oreille ma tête toujours déposée sur son épaule.

J'ai enfin réussi à lui faire comprendre que je suis enceinte. Azazel à l'air d'être heureux. Je vois même naître un sourire sur ces lèvres pendant qu'il vient doucement caresser mon ventre du bout des doigts. Sa main sur mon ventre me fait naitre un frison, je viens déposée ma tête sur son épaule tout en fermant les yeux.

Pendant un instant, je profite du calme de la situation, sa mains toujours sur mon ventre, puis j'ouvre les yeux de surprise à ces paroles.

J’espère que tu prendras soin de lui. Dis aux anges que tu as été violé et ils te laisseront l’élever et il sera détesté par tes pairs. Ou mens et dit que c’est une aventure d’un soir avec un ange blanc et il sera aimé comme un ange.

Il me fallut quelque seconde que m’en rendre compte de l’ambleur de ses paroles. J’écarquille les yeux de surprise. Il est hors de question que je dise des choses pareil en l'encontre de celui que j'aime, je ferais simplement en sorte de garder ma grossesse cacher, je ne sais pas comment je fait m'y prendre, mais c'est mon intention. Je veux que notre enfant connaisse sont père et l'aime comme je l'aime et non le contraire. Je refuse de l'écouter.

Az, tu es sérieux là ? Tu crois vraiment que je raconterais un tel mensonge envers celui que j'aime, c'est mal me connaitre, je ne veux que notre enfant ne te voient pas comme les autres, je veux qu'il te voit comme moi, je te vois. Quelqu'un de merveilleux, d'intentionné...

Lui dis-je en le regardant dans les yeux.

Je comprends largement son inquiétude, notre amour est quelque chose d'interdit et le fait que je porte son enfant peut être très dangereux, pour lui tout comme pour notre enfant. Je connais un moyen pour ne pas trop divulguer me grossesse. Je n'ai pas l'intention d'abandonner et surtout ne pas faire croire à notre enfant, le fruit de notre amour que son père est monstre. Il n'est pas un monstre, il est celui que j'aime et je me battrais pour préserver son amour tout comme notre bébé.

Ce bébé que je porte est aussi précieux que toi, vous êtes ce que j'ai de plus cher et personne ne m’enlèvera cela, tu m'entends. Je garderais secret notre amour, tout comme je le ferais pour ma grossesse. Je sais que c'est dangereux, mais c'est ma décision. Je t'aime Az et je n'ai jamais aimer aussi fort que maintenant...

Je savais que c'était risquer, mais je trouverais bien une solution. Quelque chose qui puissent faire en sorte que nous pouvons vivre ensemble sans que personne soit au courant; cacher ma grossesse, certes sera difficile, mais je sais que ce n'est pas impossible. Il faut juste que je trouve comment faire...

Qu'est ce que j'avais fait, en souhaitant ce bébé ? J'avais été égoïste et je n'avais pas réfléchis au consécanse de mes actes. Le mal était fait et à cause de moi, de cette envie de porter l'enfant de celui que j'aime, maintenant je les mettais tout les deux en danger.

Comment j'allais m'y prendre pour éviter que l'on leur face du mal. J'étais bien capable de me battre pour eux, bien que j'en avais pas les capacités.
Pendant un instant, je profite du calme de la situation, sa mains toujours sur mon ventre, puis j'ouvre les yeux de surprise à ces paroles.

Ses paroles me paroles résonnait dans ma tête, je me rendais compte de la difficulté de cacher ma grossesse, je savais qu'il n'avait pas tord. Pourtant, je sais que je trouverais un moyen, on m'a toujours dit qu'une mère était capable de surmonté une mer déchainer pour protéger son enfant et j'étais prête à prendre le risque.

Je vais trouvée un moyen, tu dois me faire confiance, je vous aime tellement tout les deux, que je ne pourrais pas vivre s'ils vous arrivaient quelque chose.

Je savais qu'il avait peur, moi aussi j'avais peur. Mais, je devais me battre, si j'avais réussi à cacher mon amour jusque maintenant, je continuerais. Je savais aussi que c'était surtout pour son enfant qu'il se tracassais. Son regard qu'il me jeta quand il croisa le mien en dit long sur son inquiétude.

Je n’ai pas réfléchis, mais… je viens de me rendre compte, que je ne serai pas avec toi pour l’élever, tu sais très bien que jamais, on sera ensemble réellement.

Ses paroles me firent l'effet d'une gifle, mais elles étaient censées. Il n'avait pas tord, c'était déjà difficile de ce voir actuellement, alors avec la venu de notre bébé, se serait encore plus compliqué, mais pas impossible.

Pourquoi dis-tu ça ? Nous savions le risque nous encourions en nous aimant et pourtant nous avons réussi, tu l’élèvera peut-être pas avec moi, mais tu t'en occupera aussi, même si c'est vrai que nous ne pourrons jamais nous aimer correctement, je t'aime Az

Je mettrais tout en œuvre pour que notre enfant aime son père comme je l'aime. Je sais que se sera difficile, mais je trouverais un moyen pour que notre enfant soit élever par nous deux, se sera compliquée, je dois l'avouer mais certainement pas impossible. Notre amour est la preuve que l'impossible n'existe pas. Nous nous aimons en secret, nous élèverons donc notre enfant en secret. Le plus dur, serait de cacher ma grossesse. Une fois cette étape passer, se sera l'éducation de notre bout'chou qui deviendra compliqué, mais je refuse de baisser les bras. Il sera élever dans l'amour, c'est mon choix et peut importe ce que cela pourra me couter. Le fait d'aimer un démon est déjà un prix fort à payer si cela se savait.

Nous avons pu nous aimer en secret, nous le feront aussi pour notre enfant. Le meilleure choix qui s'offre à moi dans cette situation c'est de le laisser sur terre une fois née. J'aurais dur pendant mon travail, mais je pourrais malgré tout garder un oeil sur lui et sur Az. Je compte sur Azazel pour que se soit lui qui en a la charge durant la journée, enfin on veillera chacun à son tour durant la journée et la nuit, on se rejoindra et on s'occupera de lui ensemble. Je rêves peut-être ? Mais, les rêves peuvent se réaliser.

On trouvera un moyen. Je sais que tu seras capable de le protéger. Même si je ne suis pas là, mon amour. chose.

me dit-il en me regardant dans les yeux, un sourire sur le visage.

Je savais qu'il m'avait répondu cela que pour me rassuré, mais je n'étais pas d'accord avec lui, je refusais d'être seule pour l'élever. Oui, le risque était grand, mais comme je dis toujours pas impossible.

Az, je refuse que tu parle ainsi, nous le protégeront ensemble, nous l’élèveront ensemble, c'est ce que je désire. Je ne dis pas par là que se sera facile, mais ce n'est pas impossible. Notre amour en est la preuve que l'impossibilité n'existe pas.

Je re-déposa ma tête contre son épaule, j'avais besoin du contact de sa peau contre la mienne. Je savais qu'il avait encore mal, je suis ange, je ressens c'est chose là. Bon, le plus souvent cela s'applique qu'aux humains, mais avec Az c'est différents, je ressens ses doutes, ses peurs, ses douleurs. C'est comme-ci lors de notre unions, nous n'avions former plus qu'un. Je l'entoura à nouveau d'une de mes ailes et ferma les yeux en venant caresser doucement son torse de ma mains.

J'avais confiance en lui, bien plus que certains ange, il était celui que j'aimais, celui dont je portais l'enfant. Le chemin sera long, nous devront traverser un fameuse tempête mais ensemble c'est plus facile. La force que j'avais de me battre ainsi, c'est grâce à lui que je l'avais. Il fallait juste ne pas baisser les bras. Un long combat nous attends, je suis prête à l'affronter.

J'avais peut-être trop d'espoir, mais l'espoir fait vivre. J'avais besoin de cela espérer.

Je passa mon aile autour de lui pendant que je déposa ma tête contre son épaule et doucement du bout des doigts, je me mis à caresser son torse. Je ferma les yeux, j'étais si bien dans ses bras, je me sentais en sécurité à l'abris. Je sens son bras passa autour de mon épaule et sa main caresser délicatement mon bras. Je le sens ensuite venir m'embrasser le front pendant qu'il me parle.

Ses paroles sont pleins de sens, c'est vrai, il a raison j'éspère un peu trop. Certaines de ses paroles me font mal, mais je dois avouer qu'elles sont pas fausse. Je rêvais peut-être un peu trop, je caresse mon ventre pendant que je le laisse terminée.

Je te fais confiance Az, j'ai peur de ce l'avenir nous resserve, mais je crois en notre amour, je t'aime et je t'aimerais toujours jusqu’à ce que la mort nous sépare.

lui dis-je en venant l'embrasser sur ses lèvres.

Je ferme les yeux à ses doux mots.

Notre amour sera difficile à vivre, c'est un immense risque que nous prenons. Mais, je l'aime et je suis prête à surmontée les mers en colère si la fallait. Cet enfant que je porte est notre avenir. Cela pourrais être une preuve que l'impossible n'existe pas. Que la paix peut exister entre les démons et les anges. Je sais, je rêves peut-être, mais si dans l'avenir un ange pourrais aussi tombé amoureux d'un démon et que lui arriverais à faire ce que j'aimerais tellement que cela arrive. Notre amour survivra pour que cela puisse arrivé. Notre enfant, sera éleva avec l'amour de ses deux parents. Se sera difficile c'est vrai, compliquée, mais j'ai confiance en celui que j'aime, en notre amour.

Mes ailes l'entourent, je sens que cela l’apaise, je le sens s'endormir profondément, je caresses ses cheveux doucement et ferme à mon tour les yeux et m'en dort....