Cela fessait quatre mois, que je vivais une histoire d'amour avec Azazel, ma grossesse se passait à merveille. Je venais d'atteindre le quatrième mois et cela commençait légèrement à ce voir. J'avais décider de m'habiller avec des vêtement plus large. Ainsi on distinguerais moins bien mon état.

Les nausées, elles avaient complétement disparurent et mon appétits avait repris. Contrairement à ce qu'on dit, on ne mange pas pour deux, on prends plus de vitamines, de minéraux, de produits laitier. Disons tout ce qui est nécessaire à une femme dans mon état.

J'avais fait du beau travail ses derniers temps, alors j'avais demander à avoir une journée de repos. La reine avait accepter et j'en fut heureuse.

J'étais passée à l'hotel pour faire la surprise à Az, mais il n'était pas là. C'était bien dommage. J'avais finis par prendre une douche, préparer quelque affaire et pris le chemin pour aller à la plage. Mon choix avait été pour une un peu à l'écart à l’abri des regards au cas ou j'aimerais aller prendre un bain dans l'eau fraiche. Avant de sortir de l’hôtel, j'avais bien évidement laisser un mot à mon amour pour lui dire que j'avais une journée entière de repos et qu'il me retrouverais à la plage la plus éloignée bien entendu.

Je mettais allonger sur le dos, un chapeau sur les yeux, mes ailes allongé de tout leur long.

J'étais allongée de tout mon long sur la plage, profitant du soleil qui venait doucement caresser ma peau. Quand j'entendis un bruit, j'avais vite compris qui s'était parce le flottement de ses ailes, je les connaissaient, je savais le reconnaitre parmi tout les autres.

J'avais le coeur qui s'affolait dans ma poitrine, c'est derniers temps on ne se voyais pas beaucoup, mais nos retrouvaille étaient tout simplement magique.

Des que je l'entendis se posée, je me leva ma tête vers lui un merveilleux sourire sur mes lèvres.

Céleste? Je suis là mon amour.

Azazel, je suis heureuse de te revoir mon Ange.

Je lui vit signe de me rejoindre, bien que je n'étais qu'au quatrième mois, mon ventre me gênait un peu dans mes déplacement et puis je voulais tellement le serrer dans mes bras et profité de la plage.

J'étais vraiment heureuse de le revoir.

Je le regarde, alors qu'il s'avance gracieusement vers moi. Doucement, il vient s'assoir à coté de moi, il m'embrasse, je réponds à son baiser. Il s'écarte tout doucement et vient me regarder dans les yeux.

Oui, c'est vrai le fait de ne pas se voir tout le temps est longs, mais quand nous avons enfin le temps de nous revoir, c'est magique. Un instant merveilleux remplis de souvenir que nous construisons ensemble pour que l’absence de l'autre ne soit pas trop dur à passée.

Tu m'as manquée aussi Az, mais a chaque fois que nous sommes ensemble, c'est effectivement magique et si je suis à la plage, c'est parce que j'ai eu une journée de congés et je voulais la passez avec toi. La plage me semblait être l'endroit idéal pour cela, tu n'es pas de mon avis mon Ange ?

Il m'embrasse à nouveau, je passe mes bras autour de son cou et réponds à son baiser. Il s'écarte à nouveau et vient doucement caresser ma joue. Je le regarde, son regard se baisse sur mon vendre

Il va bien

tout en lui disant cela, je lève ma blouse, pour me laisser apparaitre en haut de bikini, qui laisse apparaitre mon ventre légèrement arrondi, puis je prends sa main que je viens déposée sur mon ventre un merveilleux sourire sur les lèvres.

Je suis la plus heureuse de toutes les femmes, Azazel est le plus merveilleux des hommes que j'ai pu connaitre et la joie de porter son enfant me rends encore plus heureuse. Notre histoire est certes compliquée, mais on y arrivera.

Je lui vit signe de me rejoindre, bien que je n'étais qu'au quatrième mois, mon ventre me gênait un peu dans mes déplacement et puis je voulais tellement le serrer dans mes bras et profité de la plage.

J'étais vraiment heureuse de le revoir.

Sa ma main sur mon ventre me fait frisonner. Comme ses caresses mon manquer. Pendant qu'il caresse mon ventre, il vient se collé contre moi, sa peau contre la mienne, me fait toujours frisonner. Je lui sourit, je viens doucement déposé ma tête contre son torse qu'il de déshabiller.

C'est peut-être cela la magie de l'amour ? et je suis honoré de passée cette journée avec toi .

Nous nous embrassons un baiser fougueux, il vient doucement l’interrompre, pour venir prendre ma main, m'aider à me lever et m’emmène dans l'eau, là ou mon ventre est à peine visible, je suis toujours souriante avec lui. Je me sens bien. Je sens à nouveau sa main caresser doucement mon ventre.

Oui, la petite bosse, c'est sa tête, je crois

L'eau me fait un bien fou, je me serre contre lui, laissant sa main sur mon ventre. Curieusement, j'ai l'impression qu'il suit la main de son père.

Je prends la main de Az a nouveau dans la mienne et la descends doucement vers le bas du ventre, étrangement la petite bosse suit la main, puis je remonte et ainsi de suite...

C'était compréhensible qu'Azazel panique un peu, en voyant que notre bébé suivait sa main. J'avais entendu dire qu'un bébé commençais à bouger que vers la fin de la grossesse, ce qui dans mon cas en était fort loin puisque je n'atteignais que mon quatrième, pour être exacte quatrième mois et demi en réalité.

En somme j'étais moi même surprise de le voir agir de la sorte, mais je compris vite, il reconnaissait son père et je pense qu'il voulais le faire comprendre alors qu'il se trouvait encore dans mon ventre. Je ressens ces coup de pieds qui me fait sursauté tout comme Az vient de sursauté de surprise. Notre petit bouchou semble être fort en avance pour son age, ce qui promets déjà.

Oui, je l'ai sentis mon Ange, je crois qu'il reconnais.C'est comme-ci, il était heureux de te voir, enfin d'entendre.

Je devais admettre que je souffrais un peu, le fait de le sentir s'étirer de la sorte me fit même grimacer un peu, mais ça c'était le passage de la femme enceinte.

Nous nous embrassons un baiser fougueux, il vient doucement l’interrompre, pour venir prendre ma main, m'aider à me lever et m’emmène dans l'eau, là ou mon ventre est à peine visible, je suis toujours souriante avec lui. Je me sens bien. Je sens à nouveau sa main caresser doucement mon ventre.

Je confirme que cela me fait légèrement mal, mais c'est ça la grossesse...

Par contre, le fait de me trouvé dans l'eau aidait à apaiser un peu la douleur, il continuait, j'avais l'impression d'avoir un futur footballeur dans mon ventre, mais j'étais heureuse, parce que c'est petits coups donné confirmait que notre enfant était en bonne santé.

Donne moi ma ta main, je vais tenter quelque chose, tu me fait confiance ?  

Je pris sa main et la déposa sur mon ventre a l'endroit exacte ou apparaissait ses petits pieds, rien que le fait d'avoir sa main contre lui, on aurait dit qu'il s'apaisait. La douleur disparaissait et il se calma un petit peu, je descendis ensuite sa main et je le vis suivre sa main. Je regardais Azazel les yeux brillant de bonheur, nous respirions la joie. Le voir sourire ainsi me mit du baume au coeur, je savais qu'il deviendrai un merveilleux père et que son enfant ne le détesterais pas comme Az le craignait, les mouvements sur mon ventre le prouvais largement.

Tu vois, il te reconnais Az...

Je lui souris alors que notre enfant suis la main de son père. Le pauvre, il doute et il a peur, c'est assez compréhensible en un sens, puisque la plupart des enfants comme le notre n'aime pas leur père. Mais je sais qu'il la reconnu parce qu'il est le seul à provoquée cela. Et puis, notre enfant à été créer par amour comparé aux autres qui sont issues d'un viol. Ce n'est pas du tout la même chose et Az est bien diffèrent des autres démons, parce qu'il a été touché par l'amour d'un ange. Il est douceur et gentillesse, même si il encore un démon.

C'est normal que tu as peur Az, c'est un sentiment compréhensible... Par-contre, je peux te confirmé que notre enfant de reconnais et t'aime déjà...

Je lui souris parce que mon sixième sens ne se trompe pas, se sera difficile à lui prouvée, mais je sais ce que je dis et ce petit être que je porte, le fruit de notre amour l'aime comme je l'aime. Il retira sa main, baisse le regard, certainement inquiet. Ses paroles le confirment.

Ne soit pas inquiet Az, il va bien je te le promet et puis je te montré si tu veux que notre enfant t'aime et de reconnais....

J'avais trouvée comment lui montrée, mais je ne voulais pas le faire sans son autorisation...J'attendais donc sa réponse tout en reprochant de lui.

Je savais ce que je disais, une femme enceinte ressens c'est chose là. Je voulais lui montré ce que je confirmais. J'attendis sa réponse.

Maintenant qu'il m'avait donné sa réponse, j'en fut ravis. Il s'approcha de moi; je me serra contre lui

Je voudrais que tu embrasse mon vendre et n'ai pas peur, tu comprendra ce que je veux dire...

Je savais ce qui allait arrivée, mais je voulais qu'il le vois de lui même...

Justement c'était cela que j'attendais, le fait que notre bébé ne fasse plus rien, prouvais qu'il pouvais le calmer, je n'avais plus mal, c'était comme-ci le baisser l'avait abaisser. Le pauvre, il ne comprenait rien, mais je ne lui en voulais pas, il se préoccupais ce qui était tout à fait compréhensible. Un démon, n'était jamais aimer de personne, j'étais l'exception puisque j'étais amoureuse d'un démon. C'était pas facile de pouvoir comprendre qu'on pouvais l’apprécier. Il doit certainement se sentir mal, il referme ses ailes sur lui, doucement il replis ses jambes contre lui, le pauvre, j'ai de la peine de le voir ainsi, je peux pas rester là sans rien faire, j'ouvre ses ailes délicatement pour venir le rejoindre en dessous de celle-ci.

Désolé mon Ange, j'aurais du te prévenir de se qui allait se passer, le fait que tu n'as rien vu, ni sentis, c'est de cela que je te parlais, tu l'a apaiser, il c'est calmer.

Je lui pris alors sa tête entre mes mains et vient doucement embrasser ses lèvres, c'était pas sympa de ma pars, mais si je lui avait dit, il aurait pu croire que c'était moi qui fessait cela. Il fallait que cela vienne de lui.

Je reste serrer contre Azazel, je suis heureuse avec lui et lui avoir pu montré que notre enfant l'aime autant que je l'aime, m'a réjouie. Je suis venue me réconforté près de lui en dessous de ses ailes. Curieusement, je me sens bien. J'aimerais tellement élevè notre enfant ensemble, mais je sais que cela est impossible. A chaque tombé de la nuit, je viendrais le rejoindre afin de pouvoir m'aider un petit eu avec notre enfant.

Oui, il t'aime comme je t'aime mon Ange.

Je lui caresse le visage, ma tête contre ses épaules. Je sens sa main venir caresser mon ventre, j'adore ce contact, notre bout chou, réagi à nouveau à son contact, il me donne à nouveau des coup de pieds, mais peu importe la douleur, au moins cela prouve qu'il est en forme. Je préfère sentir les coup de notre bébé que de ne rien sentir du tout.

Oui, j'en prendrais soin, mais je compte sur toi pour m'aider un peu ? .

Je ferme les yeux, je profite de cet instant si précieux que nous avons. Je que je demande sera difficile, mais pas impossible, une fois de temps en temps, j'aimerais qu'il soit là. Je sais que je dois retourné chez les anges et que lui est obligé de rester ici. Mais, je viendrais toutes les fois que je peux et toutes les nuits si possibles jusqu’à sa naissance...

Oui je compte sur lui pour m'aider, l'amour que nous éprouvons l'un pour l'autre est vraiment puissant et unique. Un amour secret mais qui est magique, un sentiment de bien être m'habite, je suis la plus heureuse. Dans quelques mois nous serons trois, le bonheur à l'état pur. Je lui souris alors qu'il me caresse la joue tout en m'écoutant. Ses lèvres s’unirent au mienne dans un baiser fougueux. Je ne peux m’empêcher de passer mes bras autour de son cou. A ses paroles, je me sens rassuré.

Je te remercie mon Ange.

Je le sens se blottir contre moi, ses mains me caresses me provoquant un nouveau frison, un nouveau baiser dans mon cou.

Recouvre moi de tes ailes, s’il te plait ? .

A sa demande, j'ouvre mes ailes et l'entour de celle-ci, je me sens tellement bien ainsi blottis l'un contre l'autre .

Faire l'amour avec lui, cela me manquais, ses caresses, ses baissers. J'en avais tellement envie. L'amour est ce qui de plus beau. Nos ailes recroquevillés sur nous, nous protègent des regards des humains, mais aussi nous entoure d'un amour encore plus vivant. J'aime sentir ses ailes contre moi. Je sens ses mains venir détacher mon haut de bikini, mon coeur se met à battre dans ma poitrine, le désir commence à prendre le dessus. J'ai tellement envie de lui...

Ses lèvres viennent prendre les miennes dans un baisers fougueux, je réponds à son baiser, j'aime sentir ses lèvres contre les miennes, je suis aux ange encore. Il me rends si heureuse. Nos yeux quand à eux se croisent et le désir peux si lire.

Ne faisons qu’un, ici... mon amour...s'il te plais...

Ses caresses deviennent de plus en plus douceur, augmentant à chacune de ses passages sur mon corps et fessant naître ce désir de m'unir encore et encore à lui. Je caresse son dos du bout de mes Ses baisers dans le creux de mon cou, qui descende sur mon épaule et puis ma clavicule. Me fessant frisonne de plaisir. Sa mains se glisse dans la bas de mon maillot venant caresser l’une de mes fesses, augmentant encore davantage le désir qui naît dans tout mon corps.

Oui, mon Ange...Unissons nous encore et encore...

Lui murmurais-je alors d'une petite voix haletante et remplis de désir. Je caresse à mon tour son dos, dessinant du bout des doigts des petits symboles de mes sentiments pour lui tout en me collant un plus mon corps contre le sien.

Le plaisir que j'éprouvais pour lui s'allumait à chaque caresses de sa pars, j'étais heureuse et amoureuse comme au premier jour, doucement je me souviens de sa rencontre quand il était encore un ange noir, je me souviens aussi du passage où il m'a cru morte, le reste est toujours encore flou, mais le plus important, c'est que je l'aime toujours autant.

Les préliminaires qui nous préparent à l'acte me font frisonner toujours autant de désir, laissant échappé à chaque contact un petit gémissement. Il me soulève enlève mon bas, il fait de même, je rougis toujours face à la beauté de son corps, il me soulève encore et me dépose sur ses genoux, je me retrouve assise sur lui face à lui. Je lui souris tout en venant caresser son torse du bout des doigts, alors que je sens son intimité me frotté l'entre jambe, je souris. Il continu ses baisers, toujours aussi divins. Puis, il vient doucement me murmuré à l'oreille

Céleste… épouse-moi mon amour.

Je lui souris à ses paroles, oui je le veux aussi, même si je sais que cela sera impossible dans un sens. Mais, je le désire tout comme lui, je prends une de ses mains que je viens serre contre mon coeur et plonge mon regard amoureux dans le sien, on croirais voire une petite fille qui a les paillettes pleins les yeux de joie et de bonheur

Oui, mon Ange...je le veux, de tout mon coeur ...

C'est peut-être de la folie, mais je m'en fiche, je veux devenir madame Azazel, c'est quelque chose qui serait vraiment merveilleux, je suis tellement heureuse, que je passe mes bras autour de ses épaules et vient embrassé ses lèvres dans un langoureux baisser.

FJ'avais accepter sa demande, même si a première vu ce marier ensemble serais impossible. Je savais que c'était cela la solution, parce qu'une fois unis par le mariage, Azazel serais en sécurité, personne ne se mettre plus entre nous. Une fois unis par les liens sacrée du mariage deux être et peu importe la race sont couvert par ce lien. Du coup on pourrais s’aimer au grand jour et élever notre enfant sans nous posé de question sur notre avenir. En réfléchissant, il faudra pour cela que l'on face ce mariage avant la naissance de notre enfant, ainsi il ne sera jamais jugée, puisqu'il sera née par ce lien, peut-être pas conçue, mais peu importe. Je revais de devenir madame Azazel. Je lui souris.

J'étais sur lui, mes jambes autour de sa taille. Notre baiser devient de plus en plus langoureux, la chaleur de mon coeur augmente avec le désir. Il me soulève doucement afin de me placé correctement sur lui, doucement, je le sens me caresser les fesses, ses mains me donne l'impression qu'elles sont faite de velours, elles sont si douce sur ma peau, je frisonne sous ses caresse, je le sens me pénétré et je ne peux m’empêcher de morde sur ma lèvre du au plaisir que je sens naître en moi. Ses vas et viens me retire à chaque passage un petit gémissement de plaisir. Je continue mes caresses dans son dos dont je dessine des petits coeur du bout de mes doigts, alors que lui vient embrassé mon coup. Nos ailes nous recouvrent toujours, nos cachant ainsi de toute vision de l’extérieur tout en nous protégeant de la vue des autres. Les ailes ainsi et une sorte de barrière. C'est la que le bébé se met à donner des coups, tout comme pour dire et vous deux, je suis là. Azazel, s’inquiète un peu et je viens le rassuré dans un murmure à son oreille.

Ne t’inquiète pas, là ou il se trouve, il ne risque rien et il est bien protégé...aie...et d'ailleurs, il essaie de nous dire qu'il est là...

Azazel vient doucement caressé mon ventre du bout des doigts, se qui calme immédiatement notre bout chou, je lui souris de plus bel, alors que nos yeux son plongée l'un dans l'autre, je continue mes caresses. Je m'approche de son visage que vient embrassé une nouvelle fois ses lèvres d'un baiser si ardant, expriment à la fois tout mes sentiments pour lui, je remonte mes mains vers son torse, sans interrompre le baiser et l'aidant doucement à accélérer les vas et vient qui nous entraine dans le monde des amoureux et des amants.

Ses caresses deviennent de plus en plus douceur, augmentant à chacune de ses passages sur mon corps et fessant naître ce désir de m'unir encore et encore à lui. Je caresse son dos du bout de mes Ses baisers dans le creux de mon cou, qui descende sur mon épaule et puis ma clavicule. Me fessant frisonne de plaisir. Sa mains se glisse dans la bas de mon maillot venant caresser l’une de mes fesses, augmentant encore davantage le désir qui naît dans tout mon corps.

Oui, mon Ange...Unissons nous encore et encore...

Lui murmurais-je alors d'une petite voix haletante et remplis de désir. Je caresse à mon tour son dos, dessinant du bout des doigts des petits symboles de mes sentiments pour lui tout en me collant un plus mon corps contre le sien.